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BARNES poursuit son développement Avec un réseau d’agences immobilières reparties de Monaco jusqu’au golfe de Saint-Tropez et dans l’arrière-pays, BARNES poursuit son développement sur la Côte d’Azur afin de rester au plus près des différents marchés locaux. Ainsi, en 2020, BARNES a ouvert les agences de Sainte-Maxime, Théoule-sur-Mer et Valbonne. En août dernier, une antenne a été créée à Saint-Paul de Vence. BARNES s’est également installé au 47 boulevard Marionini à Beaulieu-sur-Mer et a ouvert une nouvelle agence à Cannes rue d’Antibes, destinée à devenir le nouveau flagship/vaisseau amiral de la Côte d’Azur. A Saint-Tropez, c’est un service de Property Management qui va être mis en place. « Avec la présence de nos 8 agences, resserrant notre maillage sur le littoral et l’arrière-pays, nous connaissons une forte hausse de notre activité en 2021 sur la French Riviera, avec un chiffre d’affaires qui a plus que doublé et un volume de transactions multiplié par 3,5 par rapport à 2020. Une dynamique observable tant dans nos 2 agences historiques, de Cannes et Saint-Tropez, que dans nos autres agences de la Côte d’Azur », ajoute Julien Bourdry. |
Saint-Tropez : les domaines privés et sécurisés ont la cote Saint-Tropez affiche un marché immobilier très dynamique, avec un chiffre d’affaires en augmentation de 35% par rapport à 2020 pour la transaction. Même si depuis la crise sanitaire la demande porte sur tous les types de biens, ceux des domaines privés et sécurisés, proche de la mer – voire « pieds dans l’eau » – ou du village restent les plus convoités. « La clientèle est principalement française, allemande, belge et suisse. En raison des restrictions de déplacement liées à la Covid, les Anglais ne sont de retour que depuis peu. Certains propriétaires britanniques, lassés de ne pas avoir pu profiter de leur pied-à-terre sur la Riviera, ont décidé de le mettre en vente », note Nelly Goyons, Directrice de BARNES Saint-Tropez. « Saint-Tropez reste une destination iconique qui échappe à une logique de prix au m², tant la typologie et la localisation du bien influent sur le prix final », conclut-elle. Sainte-Maxime : des prix en hausse « La clientèle française est de plus en plus présente sur le marché immobilier de Sainte-Maxime, porté également par les Belges, les Suisses, les Néerlandais, les Britanniques et les Libanais », constate Maud Girard Bouffenie, Directrice BARNES Sainte-Maxime. La demande se concentre sur des biens aux belles prestations : vastes superficies, vue et proximité mer, construction contemporaine, proximité des commerces et des animations. Pour cela, les acquéreurs sont prêts à investir au moins 3 millions d’euros. Face à l’attentisme de certains vendeurs opportunistes, les prix des biens ont déjà, en moyenne, progressé de 5 % sur un an. Théoule-sur-Mer : un marché soutenu par les résidences semi-principales Depuis le début de l’année, le marché de la côte de l’Esterel est dynamisé par la clientèle française, principalement à la recherche de résidences semi-principales. Mais, depuis juin, les étrangers (Néerlandais, Belges, Allemands) sont de retour, dopant le marché des maisons de plus de 2 millions d’euros. « Sur la côte de l’Esterel, les prix vont de 2 à 10 millions d’euros et la demande se concentre sur les biens « pieds dans l’eau ». La clientèle haut de gamme est à la recherche de villas avec piscine à Théoule-sur-Mer et d’appartements d’exception construits dans la résidence Cité Marine de Port-la-Galère. Ces derniers se vendent entre 10 000 et 15 0000 €/m² », note Nicolas Pace de BARNES Théoule-sur-Mer.
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